Une folle envie d’être fessée m’a poussée à des folies

Catégories : Femmes fessées
il y a 7 ans
La fessée m’a toujours excitée, pourquoi je ne sais pas mais c’est comme ça. Mes petits copains n’ont jamais été fan de cette pratique. Certains ont accepté de me claquer un peu les fesses histoire de me faire plaisir, la conviction et le savoir faire n’y étaient pas. Je crois qu’ils me prenaient pour une demeurée.

Les histoires érotiques sur la fessée ont souvent mis le feu aux poudres de mes envies solitaires. J’ai bien essayé de me fesser seule, mais c’est nul et sans intérêt, pour apaiser mon excitation, il ne me restait que les fantasmes et mon petit vibro. Je suis tombée sur une superbe histoire de pensionnat, les étudiantes en recevaient souvent au réfectoire. Combien de fois je me suis imaginée à la place....

Les vidéos de fessée j’en ai rempli un disque dur ! Je les collectionne secrètement, je les connais toutes, je les classe par thème, paddle, canne anglaise, sur les genoux, en position diaper, position que je ne connaissais pas, pas encore.....

Les jeunes de mon âge n’étant pas à la hauteur de mes envies, j’ai commencé à chercher un vieux en me disant que leur expérience serait un plus pour me faire vivre ce que j’ai envie. En parlant d’âge, je ne me suis pas présentée.

Je m’appelle Emilie, j’ai 22 ans mais en paraît 15 à cause de ma taille, de mes petits seins et de mon visage fin. Cela me pose souvent des soucis pour entrer en boite, dans les bars et au cinéma. Il m’arrive même de devoir présenter ma carte d’identité à la caisse des supermarchés.

Après avoir erré sur des forums, j’ai fini par prendre un abonnement sur Fessestivites.com et donc, un vrai site de rencontres. Faire mon annonce a été plus difficile que prévu, par contre, le fait de dévorer les vidéos et les histoires érotiques a laminé ma pudeur et ma retenue. Dans les photos et vidéos réelles des membres, j’ai repéré un homme d’un certain âge, sa manière de faire, son sourire, ses paroles inspiraient la confiance. Je l’ai contacté, il a mis trois jours à me répondre l’enfoiré !!!! Moi qui m’était mise pire que nue dans mon message privé pour lui parler de mes envies, attendre m’a rendue folle et prodigieusement énervée après lui.

Sa réponse par contre, était à la hauteur et sentait l’expérience. Deux messages plus tard, il me donnait son numéro de téléphone en m’indiquant que passer des heures sur le net ne l’amusait pas. Soit je le contactais au moins pour que l’on se parle, soit il laissait tomber. Enfin un qui ne me harcelait pas ! Il faisait pire en me mettant aux pieds du mur de mes fantasmes. .

Lors de nos discussions, nous avons défini les règles de notre rencontre. Il y a eu quatre appels, tous de ma part car il me demandait d’appeler en premier, quitte à me rappeler ensuite pour que je ne détruise pas mon forfait. Le week-end chez lui se déroulerait sur les principes de l’éducation anglaise, la vraie, la dure, la sérieuse. Il n’y aurait pas de sexe entre nous et il me ferait vivre la fessée de mes rêves.

Mon arrivée chez lui !!!!!

Quand il a vu mon look, il a commencé par me demander ma pièce d’identité ! Encore un qui a cru que je n’étais pas majeure. A la suite de quoi, au lieu de m’offrir un coca et de discuter un peu, il m’a envoyée dans une chambre pour poser mes affaires et les ranger. GRRR. Moi, je n’avais pas envie de ranger mes affaires, j’avais envie de rentrer dans le vif du sujet, en clair, de prendre une fessée. J’ai donc mis mon sac dans l’armoire avant de me diriger dans sa maison avec mon portable à la main. Je me souviens de cette étape comme si c’était hier.

  • Déjà ?

  • Oui !

  • Oui qui ?

  • Oui Monsieur !

  • Tu es sûre de toi ?

  • Oui !

  • Oui qui ?

  • Oui Monsieur !

  • Allons voir ça de suite ! M’a répondu Marc en se levant.

Il est entré avant moi dans ma chambre, je le suivais en me disant qu’il a b u s a i t. Et là, sans gêne, après avoir ouvert le placard, il a attrapé mon sac, il l’a ouvert et vidé en vrac sur le lit avant de me dire que « ranger » signifiait ranger mes affaires comme il faut et non pas les laisser en vrac. Il a ajouté en braquant son regard sur moi, que l’on ne se comprenait pas et que les punitions n’allaient pas tarder à me remettre dans le droit chemin. A la suite de quoi, il est reparti à la maison en m’ordonnant de le suivre. J’étais nettement moins fière à ce moment là.

  • Vous m’avez demandé de vous donner une vraie et réelle fessée en étant attachée. Vous allez l’écrire. Je vous invite à faire attention à votre écriture, toutes les fautes, si vous en faites, seront sanctionnées.

Cela me gonflait grave !!!!!!!!! A ce moment là, je trouvais ça débile, il avait en fait deux raisons. Essayer de se couvrir en cas de souci et travailler en miroir mais ça, je n’ai pas tardé à le découvrir. Voilà ce que j’ai du écrire :

« Je soussigné, Emilie, saine de corps et d’esprit, déclare vouloir que Marc m’attache et me donne une fessée. Je souhaite, conformément à mes emails, que cette fessée soit réelle et sérieuse. Je souhaite qu’il ne s’arrête pas même si je le supplie et pleure. J’accepte qu’il y ait des marques sur mes fesses comme sur les photos et vidéos ».

Après avoir relu mes écrits, il m’a demandé de le suivre dans une des pièces de la maison. Et là, je l’ai vu en vrai le banc à fessée. L’ambiance de cette pièce était effrayante, sur un long râtelier fixé au mur, il y avait des cannes anglaises et tout un tas de trucs inquiétants. Il m’a poussée vers le banc puis demandée de monter dessus pour m’y entraver. Quand il a attaché mes poignets, je n’étais plus motivée du tout et me traitais de folle. Marc a passé une sangle en cuir autour de mon corps pour que je sois bien plaquée et ne puisse plus bouger. J’angoissais un max quand ensuite il a bloqué mes cuisses et mes chevilles. Attachée comme j’étais, s’il avait envie de me baiser, je n’avais aucun échappatoire.

MA JUPE !

C’est fou tout ce qu’il m’est passé par la tête quand il a remonté ma jupe et dévoilé mes fesses. Ce n’est pas qu’il me voit en culotte qui m’a grandement perturbée, c’est que mes fesses ne pouvaient pas être plus offertes à lui. C’étaient presque comme si elles avaient des yeux ! Débile je sais, mais c’était bizarre comme sensation. Il a pris tout son temps, il ne m’a pas touchée ni même claquée. Il m’a abandonné un instant pour aller chercher le papier où j’avais écrit que je voulais une réelle et sérieuse fessée. Il l’a relu à haute voix puis indiquée que j’allais être sévèrement punie.

Marc est allé prendre une canne anglaise sur son râtelier, il l’a fait siffler en fendant l’air avant de la poser doucement sur mes fesses. A son contact j’ai bondi de peur. Il s’amusait à la faire glisser sur ma culotte, un peu comme s’il l’a prévenait de la suite. Soudain, j’ai entendu un sifflement qui a aussitôt était suivi d’un trait de feu. Et là, j’ai découvert le sens des mots « vraie fessée ». J’ai eu mal, j’ai serré les poings, les paupières et les lèvres mais je n’ai rien dit. Il m’a donné dix coups de cette putain de canne anglaise, mes fesses sont devenues un brasier. Je sentais comme des fourmis sur tout mon épiderme fessier.

MA CULOTTE

Même si c’était prévisible, quand il a baissé ma culotte je n’ai pas pu me retenir de lui dire « non, s’il vous plait pas la culotte ». Ma requête était aussi débile qu’inutile mais cela m’est venue comme ça, spontanément. Et là, il m’a indiquée que j’avais déjà de belles marques. C’est le mot « déjà » qui m’a affolée car cela signifiait qu’il allait continuer.

SA MAIN

Il m’a ensuite fessée à la main. Sa main est un véritable battoir, je me suis demandée si je ne préférais pas la canne anglaise car à chaque claque, j’avais l’impression que les fesses explosaient. Et là, j’ai commencé à lui dire de faire moins fort. En guise de réponse, il a posé mon papier sur une chaise devant mes yeux. Et il est parti en me laissant seule face à mon papier avec le cul en feu en me disant « à toute à l’heure ». Il m’a laissé méditer et finalement, avec le recul, le plaisir de me sentir vivre mes fantasmes.

Rester seule entravée avec le cul nu en feu m’a reconfiguré ma cervelle pour la faire dévier sur les vidéos et photos de filles des pensionnat. J’ai imaginé que plusieurs personnes assistaient à ma punition, ce qui est fou, c’est que cela m’a excitée malgré la crainte de la suite.

Quelques minutes plus tard, il est revenu prendre un instrument qu’il m’a présentée. C’était une strappe, ses deux lames noires m’inquiétaient. Quand elle s’est abattue sur mes fesses, j’ai crié en bondissant dans les entraves avant de crier « non, ce truc ça fait trop mal ». Encore une fois, il ne m’a pas écoutée. J’avais beau me débattre et crier, il continuait à me fracasser les fesses. Je devais ressembler à une hystérique en pleine crise mais quand il s’est arrêté, j’ai eu comme l’impression de passer dans un autre monde. Mon corps tremblait et j’avais l’impression de flotter.

  • Vous n’avez pas encore goûté au paddle, au vrai paddle traditionnel en bois, je vais vous le faire essayer en appuyant un peu pour plusieurs raisons. La première est que vous oubliez le mot « Monsieur » quand vous vous adressez à moi. La deuxième est pour la chambre qui n’a pas été rangée.

Son paddle ressemble à une planche en bois percée, quand je l’ai vu je me suis imaginée complètement démontée et en pièces détachées. Comme pour la canne, il a commencé par le présenter à mes fesses en le posant doucement dessus. Il était froid, sa fraîcheur ma fait un bien fou malgré ma peur de la suite. Et là, il m’a indiquée que je pouvais pleurer si j’en avais envie, qu’il n’y avait pas de honte à ça. Chacun des coups me faisait bondir, crier même si je sais aujourd’hui qu’il faisait de l’enrouler. En clair, porter le coup de bas en haut, cela claque et agite les fesses sans pour autant les meurtrir. Et puis il m’a achevée en me fessant réellement avec son paddle. Les larmes sont arrivées, je ne les ai pas retenues.

Soudain, tout c’est arrêté. Le silence n’était troublé que par mes larmes et mes reniflements négligés. Mon corps tremblait de partout. C’était bizarre, j’avais l’impression de jouir, les contractions agitant tout mon corps étaient incontrôlables. Marc m’a recouverte d’une couverture avant de passer de la crème sur mes fesses. Sa main les massant délicatement me faisait un bien fou. Il m’a libérée puis aidée à me lever puis a remonté ma culotte, j’étais tellement « ailleurs » que je ne l’ai même pas aidé. Je chancelais tellement qu’il m’a soulevée et portée au salon pour me prendre sur ses genoux et me faire un gros câlin. Mes yeux se sont remis à couler, non pas de douleur, d’autre chose, comme si me relâcher me faisait craquer et pleurer. Je me suis presque endormie lovée contre sa poitrine.

....................

La suite du week-end a réellement était basé sur de l’éducation anglaise. Je ne mets plus mes coudes sur la table, je ne parle plus la bouche pleine, je réponds par « monsieur » et fait réellement attention à tout ce que je fais et dis.

Marc est devenu un peu comme mon tuteur de vie et mon fesseur. Je l’aime, non pas comme un petit copain mais comme un père. Ma vie a changé depuis cette rencontre. Je suis plus épanouie, plus stable et plus jamais en retard..... cela fait trop mal aux fesses.

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